(Sisi je le sais, vous ne pouvez rien me cacher!)
Voici l'oeuvre tant attendue qui éclairera vos pauvres vies et chamboulera votre manière de penser, et oui je parle bien entendu de:
écrite par l'éminent érudit Hazirak de Malfroix qui publia bien d'autre ouvrages, mais il faut bien commencer par le commencement...
roro
7 commentaires:
Tu as honteusement oublié l'analyse politique (et culinaire) de notre cher Karad !
Qu'aurait donc fait le divin Kael'Tas sans ce fin diplomate, venu des steppes du nord ?
Enfin!
Je ne trouvais plus le repos. Dans mes rêves les plus fous et enfiévrés, je n'aspirais qu'à une seulle chose: pouvoir poser mes yeux sur ces reliques retraçant les heures fatidiques de Saruun Khel.
PS: Chapeau bas pour la somme et la qualité du boulot effectuée.
PS 2: C'était censé rendre ton perso sympathique?
@alex: oui tu as raison, j'ai oublié karad et c'est vrai que quelque part kaelthas lui est redevable... d'un autre coté Hazirak ne s'intéresse qu'aux évènements postérieurs à la grande chute.
@JS: si tu savais... ce n'est qu'un petit que j'avais envie de partager avec vous pour faire vivre ce monde. Mais rassures-toi, Hazirak a publié de nombreux écrits que je compte bien publier...
au contraire, je dirais que j'ai essayer de rendre mon perso plus sympathique et que cela ne semble pas marcher...
Pfuuuuu.... J'ai tout lu...
Eh bien... Pour une "copie", tu te débrouilles pas mal.
JE NE SUIS PAS UNE COPIE!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
C'est vrai, t'es pas une copie, t'es un psychopathe !!!
Karad resta à Sarun kael durant cette période,il resta discret aux yeux de Kael Tass car il avait bien compris l'etat d'esprit de cet individu.Karad voulait restait neutre dans tout ce cahos,il ne se fit aucun ennemi mais seulement quelques personnes qui lui sont redevables,car ils leur a sauvé la vie.Karad connait parfaitement tous les recoins de la cité,et compte parmi ses connaissances loyales des nains et surtout des drows qui lui font confiance.Karad attend son heure pour demander au nouveau "maitre" de la cité son dû.
Enregistrer un commentaire