lundi 27 avril 2009

Dernière ligne droite !

L'attaque de Havrefroid par une horde de squelettes a été contre-carrée par nos héros. Vos personnages ont poursuivi les mort-vivants jusqu'au cimetière en ne leur laissant aucune chance de nuire. Pour le plus grand malheur du jeune Rôdeur elfe Kinaran, vous avez eu la confirmation de la traîtrise de sa soeur, Ninaran, espionne de Kalarel à Havrefroid. Acculée dans son repaire forestier, la félonne a préféré s'empoisonner plutôt que d'affronter son frère. Malgré tout Kinaran a transporté le corps de sa soeur jusqu'au village pour obtenir de l'aide auprès de la vieille Linora, prêtresse d'Avandra.

La colère monte ! D'autant que frère Qwarion a refusé de donner le sceptre infernal à son prisonnier préféré : Sigil. Il est temps de remonter au Fort de Gisombre, retrouver le Paladin de Bahamut et le Mage éladrin, et en finir une bonne fois pour toute avec Kalarel.

Plus prosaïquement, ce petit interlude vous a permis de gagner 1400 xp, donc 280 xp chacun. Vous avez renouvelé votre équipement d'aventurier mis à rude épreuve lors du combat avec les Kruthiks. Et vous êtes tous maintenant monté au troisième niveau.

Bonne chance pour la suite, car les choses vont se compliquer !

3 commentaires:

roro a dit…

bon je dirais pas que je vous l'avais dis, mais quand même hein....

la prochaine fois vous m'écouterez et vous me laisserez cramer les PNJ pour lesquels j'ai une mauvaise intuition...

aprés tout, je pense être le mieux placé pour détecter la fourberie, non?

à part çà, il parait que frère quarrion ne veut pas rendre son gode à Sigil...
c'est pas bien, Quarrion. Souviens toi au monastère on t'as dit qu'il fallait partager tes jouets avec tes petits camarades...

lucius a dit…

Je ne me manifeste que pour signaler à l'honorable maistre de jeu que j'ai bien pris note du message. Pour le reste je me drape d'un manteau de dédain. Vile faquin, garde tes sottises par devers toi et laisse en paix mon artefact.

Loup Gris a dit…

" Il faisait
Rip quand il tournait,
Zap quand il sifflait,
Brrrrr quand il marchait,
Je ne sais pas ce que c'était, mais je crois que je ne le saurais jamais ".
Claude François, "Le jouet extraordianire"